Alcool & drogues en entreprise, enfin un outil efficace

Un supérieur hiérarchique a le droit d’effectuer un test salivaire de substances stupéfiantes, grâce à la décision du conseil d’Etat n°394 178 du 5 décembre 2016.

Un salarié d’une entreprise lyonnaise de logistique entre au volant d’un chariot élévateur dans les bureaux de la direction et tue une secrétaire. A Paris, un journaliste trouve la mort à moto en roulant à contresens sur le périphérique, après avoir quitté un pot de bouclage à trois heures du matin. L’enquête établira qu’il avait 2,5 g d’alcool dans le sang et que les pots de bouclage étaient quotidiens… L’employeur a été condamné au pénal. A l’héliport d’Issy-les-Moulineaux (Hauts de-Seine), un pilote privé sous l’emprise de la drogue « oublie » son client au décollage et percute un camion-citerne avant de s’écraser contre un autre hélicoptère !

 

  • 20% à 30% des 650 000 accidents du travail sont liés aux psychotropes.
  • Les arrêts de travail de plus de 3 semaines sont multipliés par 15 chez les salariés présentant une addiction.
  • 91 % des dirigeants déclarent que les salariés de leur entreprise consomment au moins un produit psychoactif
  • Les addictions représentent un coût annuel estimé à 1,5% de la masse salariale.

Face à la banalisation de l’usage de drogues, les entreprises doivent se prémunir contre le danger de confier des postes dits « hypersensibles aux drogues et à l’alcool » sans contrôle. Elles se doivent également de mettre en place les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé de ses employés (Art L4121-1.).

 

Pour répondre à cette problématique, la société MEDISUR propose un autotest salivaire capable de détecter la présence d’alcool, de cinq principales drogues (cannabis, amphétamines, méthamphétamines, ecstasy et cocaïne) et de 4 types de médicaments (opiacés, benzodiazépines, buprénorphine, méthadone) sur une consommation récente. Il a pour vocation d’être un outil de dissuasion.

 

Un salarié obtenant un test positif peut faire l’objet d’une sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement. Et en cas d’accident du travail, l’employeur peut être condamné à indemniser le salarié dès lors qu’il avait ou aurait dû avoir conscience des dangers auxquels était exposé le salarié, et qu’il n’a pas pris les mesures nécessaires pour l’en préserver.

 

Plus d’infos sur la société Médisur :

  • Vincent DAILLOUX – Directeur associé – 06 51 34 56 77
  • MEDISUR SAS – 1795 route de Rognes 13540 Puyricard 04 42 96 09 68 – www.medisur.fr